Si tu déballes le carnet noir Jette un coup d’œil à la boite noire Elle te contera tous les voyages De l'esprit et des rêves fous Peuplant le ciel le soir venu Dans les volutes de la dernière cigarette C'est le murmure de l'eau de lune
Le jour Du bon jour Moins sourd des yeux Sans se fader Une pogne assertive Même éphémère Pour un coeur en poussière Richesse éternelle Qui ruisselle Sur les rivages souverains
A la fontaine des p'tits mots
RépondreSupprimerCoulent parfois les grands remèdes.
"Bonjour" en est le premier
Susurré dans un baiser
Avant que ne glisse la couette.
Assis près de ta fontaine
SupprimerLa lune vaut 200 briques
Serait ce le fruit du hasard
Si ce soir on est riche
A moins que cette sacré étoile
N'irradie plus à l'aune
Adieux veau, vache
Couette, baiser
On a voulu boire cette eau
On ne mangera pas ce pain
Si tu déballes le carnet noir
SupprimerJette un coup d’œil à la boite noire
Elle te contera tous les voyages
De l'esprit et des rêves fous
Peuplant le ciel le soir venu
Dans les volutes de la dernière cigarette
C'est le murmure de l'eau de lune
Le jour
SupprimerDu bon jour
Moins sourd des yeux
Sans se fader
Une pogne assertive
Même éphémère
Pour un coeur en poussière
Richesse éternelle
Qui ruisselle
Sur les rivages souverains
Un piano dans l'aéroport
SupprimerDes passagers tranquilles
Le temps s'endort
Une main plus taquine qu'habile
Vient effleurer Bach
D'un doigt
Quelques notes de musique
Des voyageurs sourient
Furtif et magique
L'instant est roi
Anorime
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